Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Sourcier n'est pas sorcier

Sourcier n'est pas sorcier
  • Sourcier depuis de nombreuses années , je voudrais vous faire partager l'art de la sourcellerie, qui est devenu pour moi aux cours des années une véritable passion. A bientôt sur sourcier n'est pas sorcier.contact :0628306555
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
26 février 2010

REFLECTION D'UN CONFRERE

    Comment une veine dans laquelle circule un courant d’eau souterrain, située à plusieurs mètres sous la surface, parfois quelques centaines, peut-elle, par sa présence, provoquer une réaction nette, précise, sans équivoque, sur la baguette de sourcier par l’intermédiaire de la personne qui la manipule ?

    A cette question ne figure aucune réponse scientifique aussi nette et précise que la réaction provoquée sur la baguette du sourcier lors de la rencontre d’une veine d’eau souterraine, et pourtant...

    .

    .. Pourtant il faut bien admettre que cette réaction existe, tant et si bien que la quasi totalité des recherches de sources en profondeur est effectuée par des sourciers, avec parfois des taux de réussites totalement déconcertants, troublant même la communauté scientifique, qui ne peut, tout comme les sourciers, fournir aucune explication rationnelle à ce phénomène dont la pratique est ancestrale

    Alors, grande est la tentation d’attribuer à cette réaction au demeurant surprenante des vertus paranormales.

    De se laisser glisser lentement vers des pensées mystiques et des divagations para-religieuses.

    Quel ne fut en effet mon étonnement mêlé de crainte, lors de ma première réaction de baguette à l’approche d un supposé passage d’ eau.

    Alors à qui ou à quoi peut-on attribuer ces possibilités, à l’instrument c’est à dire la baguette, ou bien au personnage qui l’utilise ?

    A n’en pas douter, il s’agit d’une sensibilité particulière de la part du sourcier, un peu comme un art ou une faculté, en vertu du don que le sourcier possède, qui lui permettrait peut-être de ressentir inconsciemment les différences infimes du champs magsourciernétique ou électrique générées par l’eau en mouvement dans le sol
    .

Publicité
Publicité
23 février 2010

exemple d'échec

La semaine dernières je fus appelé sur un forage qui c’est  révélé sec sur 140 mètres après que le trépan eu traversé de nombreuses couches d’argiles bariolées. Avant de me rendre chez le propriétaire je consultais la carte géologique de la région et je constatait que' effectivement  la parcelle se situait sur  une zone géologique particulièrement difficile car très fracturée et friable, terrain qui s’éboule sur le marteau, donc risque de blocage  de l’outil et difficultés de le récupérer. Lorsque j’arrive sur les lieux l’entrepreneur de forage m’explique ses déboires et me demande s’il existe une zone  stable traversée par une veine qu’il pourrait percer sans rencontrer les problèmes du premier forage .Après une demi heure de prospection j’avouais que il était impossible de trouver un endroit ou le sous sol ne soit pas bouleversé, mais je marquais un emplacement que l’entrepreneur, en accord avec le propriétaire décide de forer. Le matériel est transporté au point indiqué, après les réglages  de la machine les travaux commencent. Aussitôt pas de surprise on retrouve le même type de sol  argiles bariolées puis calcaire encore des sédiments multicolores, et la le trépan semble traverser une zone plus franche plus dure, nous sommes à 40 mètres. L’équipe semble satisfaite mais comme il commence à faire tard, la poursuite des travaux et remise au lendemain .Ce forage me tenant a cœur  le lendemain je retourne sur les  lieux dans le courant de l’après midi et quelle ne fut pas ma déception de constater que l’équipe semblait être en être empêtrée dans de sérieuses difficultés .Effectivement le marteau ayant rencontré une sorte d’aven se coinça, juste avant de pénétrer dans une zone très humide , prémices de l’eau que j’avais senti .Il fallu une journée a l’entrepreneur pour sortir son matériel du trou de forage on imagine son angoisse lorsqu’on sait qu'unPhoto006 marteau  coûte la bagatelle de 7000 ou 8000  euros à lui seul, sans compter les barres qui permettent de descendre le trépan et que l’on rajoute chaque trois mètres de profondeur .enfin le forage s’arrêta la car pour continuer les travaux la technique à  mettre en œuvre  était beaucoup trop onéreuse pour le propriétaire .

Client, foreur, sourcier, tout le monde se sent frustré. Voila un type d’échec qui ne m’est pas imputable, je reste persuadé que l’eau était abondante dans les 90 Mètres mais la nature en a décidé  autrement et a remporté la baille, protégeant son trésor inestimable. C’est bien ainsi, l’homme ce prédateur de la planète ne peut pas toujours gagner.

30 janvier 2010

Eau douce au fond des mer

Le captage des sources sous-marines.

Il existe au fond des mers de véritables sources d’eau douce, issues du jaillissement de rivières souterraines. Ces sources peuvent-elles être exploitées par des pays en manque d’eau ? Une expérience a été tentée avec succès en juillet 2003 à moins d’un kilomètre des côtes françaises et italiennes, au large de Menton et Vintimille. Une société spécialisée, Nymphea Water, a réussi à capter la source de la Mortola, à 36 mètres de profondeur. Le système doit être testé pendant un an. Reste que de telles sources offrent des quantités d’eau modestes à l’échelle des besoins d’un pays (en France, les eaux souterraines marines ne représentent que 1,5 % de l’ensemble des eaux souterraines) . De plus, la technique d’extraction est coûteuse

29 janvier 2010

Réponse pour citoyenne du monde

Beaucoup de personnes sont intriguées par le mouvement des baguettes qu'elles soient en y ou en l . Suivant le professeur Rocard le sourcier réagit à une anomalie dans le champs magnétique terrestre, qui se manifeste part une perte du tonus musculaire. Voila peut être la raison pour laquelle mes jambes fléchissent au point de tomber lorsque je passe au dessus d'une fracture qui coupe l'homogénéité de la couche géologique du terrain sur lequel je prospecte,bien sur une mise en condition est nécéssaire. De nombreuses personnes ont une réaction au dessus d'une zone sourcière, surtout avec les baguettes en l , mais elles sont incapables de dire s'il s'agit d'eau , d'air , d'argile ou autre. D'onc on peut en conclure que la recherche est purement physique, mais des réponses claires ne vous seront données que si vous y associez votre mental. C'est une activité de tout les jours.Il est très important de travailler conjointement avec un sourcier expérimenté dont les recherches seront forées, ce qui vous permettra de vérifier vos" ressentis", vos conclusions etc . Attention! certaines personnes ont les mêmes sensations sur les avens, fractures rocheuses, l'eau. J'ai cette chance d'avoir des mouvements d'intruments bien différenciés sur l'eau et le vide. Une grande partie des erreurs, des forages sec viennent de là.Pour ma part mes réussites tournent au alentours des 99 % .Ce 1% et constitué soit par des personnes qui auront arrêté le forage par défaut de moyens financiers , soit par une cause inexpliquée. les erreurs d'appréciations de profondeurs sont plus fréquentes, mais en général le client encouragé par l'entrepreneur de forage qui à "senti" l'eau en fonction des sédiments remontés par la foreuse, poursuit les travaux et quelques mètres aprés l'estimation du sourcier la récompense est là. Il est préférable de dire : "je crois que l'eau se situe à telle profondeur", plutôt que d'être affirmatif. J'ai toujours fait preuve d'une grande humilité ,de sincérité ,aussi je n'ai jamais eu de problèmes avec les personnes ayant effectué des travaux de forage suite à mes indications.

23 janvier 2010

exemple de prospection

forage.jpg

Il y a quelque temps je fus appelé chez deux personnes voisines, désireuses d’effectuer un forage afin de disposer d’une ressource en eau destinée à arroser leur jardin .Dans le midi de la France les étés sont secs et chauds, le climat n’est guerre propice au développement des pelouses, Leur seule chance de survie sont des arrosages importants, et pour cela et bien il faut de l’eau en quantité.

L’eau desservie par les villes a un cout élevé, sans compté que les mètres cubes qui sont utilisés pour l’arrosage du jardin sont comptabilisés dans la redevance assainissement. Chez la première personne après une recherche minutieuse et attentive, car le quartier est truffé de failles vides, sorte d’avens sur lesquels le pendule se comporte de façon bien particulière : soubresauts rotations inverses. Après une demi heure de recherche, je trouvais une belle veine, avec des mouvements d’instruments bien nets, sans équivoques mais    assez mal placée, parce que à l’angle de l’entrée du garage. L’eau souterraine est capricieuse et suit les fractures rocheuses, appelées veines, elles seules déterminent l’emplacement du forage. J’évaluais la profondeur de l’eau à 70 mètres et le débit, d’après mes sensations, à 4metres cubes environ. Chez le voisin la propriété est plus en contre bas avec cette particularité que, lors des orages importants, les flux ressortent au beau milieu du terrain telle une résurgence, et inonde durant quelques heures puis disparait. Ce phénomène est du au fait que le sous sol et sillonné de boyaux drainant l’eau en provenance des garrigues et qui ressort à fleur de terre. Le danger est de prendre la proie pour l’ombre, c’est à dire de confondre ces ‘canalisations’ vident en temps normal avec les failles drainant vraiment de l’eau en toutes saisons. J’ai la chance d’avoir deux ressentis bien différents sur le vide et sur l’eau. La recherche fut plus délicate, car mes instruments m’indiquaient beaucoup de vide. Enfin sur un cite plus élevé du terrain, je trouvais un coin favorable, avec des sensations assez importantes, je marquais un point de forage que j’évaluai à 100 mètres de profondeur, plus profond de 30 mètres que chez la première personne ,avec une impression de débit bien supérieur. Quelques mois plus tard ces personnes ont contactés une entreprise de forage affin de mettre leur projet à exécution.

Sur ma première recherche la forassions c’est déroulée normalement et dans les voisinages de la profondeur annoncée, l’eau était au rendez vous avec un débit estimé par le foreur, à 5metres cubes /heure, alors que je l’estimais à 4metres cubes /heures. Le lendemain l’entrepreneur ayant changé son matériel chez le voisin commença les travaux. En début d’après midi, je recevais un appel téléphonique du propriétaire m’informant d’un ton angoissé que les 100 mètres de profondeur aux quels j’avais estimé l’eau étaient dépassés et que le forage était toujours sec.

La grande question que fait-on ?? Je ne doutais pas de ma prospection, je savais que l’eau était dessous, quelques mètres plus  bas. J’avais pu faire une erreur d’appréciation de profondeur et je savais que si, par manque de moyens financiers le forage s’arrêtait là, la déception et la frustration serait grande pour tout le monde. Aussi je l’encourageais à continuer à forer 3 ou 4 barres de plus (9à 12 mètres), me disant que l’eau n’allait pas tarder à se manifester et que le propriétaire encouragé par la vue de ces premiers prémices mènerait son projet à terme. Afin de rassurer ce dernier je me rends à son domicile (30 km de chez moi) et lorsque je me trouve au portail je constante qu’un petit ruisseau passait sous celui-ci et dévalait la rue en pente. Mer R…. vint me rejoindre, le sourire aux lèvres et me dit : « J’espère que vous apportez l’apéro parce que nous nous avons l’eau ! » Effectivement à 106 mètres l’eau avait commencée à venir et à 110 mètres c’est 8 à 10 cubes qui sortaient du forage, inondant les alentours. J’avais sous estimé la profondeur, mais au vu du résultat cela valait la peine d’investir 10 métres de forassions supplémentaires. Si je n’avais pas eu confiance à mon expérience et à mes facultés de sourcier, je n’aurais pas encouragé le propriétaire à continuer, il aurait arrêtait sans doute les travaux à 10 mètres de la réussite……Travail ingrats que celui de sourcier, car l’entière responsabilité repose sur ses épaules.             

         

Publicité
Publicité
14 janvier 2010

L'evaluation de la profondeur

Voila une question qui fait couler pas mal d'encre! Il existe de nombreuses théories dont certaines , les plus sérieuses émanent de sourciers et radiesthésiste célèbres comme l'Abbé Mermet, ou plus contemporain Michel, Ennique qui exerce dans la région PACA ; En fait toutes les méthodes tournent autour d'une même idée , il s agit de compter quelque chose. Pour certains se sont des pierres , leur pendule étant en rotation au dessus d'une source , une tierce personne ajoute des graviers dans la main libre et lorsque le pendule arrête sa rotation, le sourcier compte les petits cailloux additionnés dans sa main, leurs nombres correspondent à la profondeur de la source . Pour les petites profondeurs ,il existe une méthode venant de 'abbé Mer met, pour la comprendre permettez moi d'abord vous expliquer sa théories: Pour cet éminent radiesthésiste , un courant d'eau souterrain et conditionné par deux rives et chacune émet sept lignes de forces qui lui sont parallèles . La profondeur de la source se trouve donc à la distance séparant la première ligne de force à l'axe de la source. Pour mesurer cette distance le sourcier se place sur la source , baguette en tension et recule jusqu'à ne plus sentir de résistance sur son instrument, là il marque ce point et évalue la distance le séparant de la source, cette distance représente la profondeur . Cette technique est fiable pour les profondeurs jusqu'à une trentaine de mètres . Michel Ennique à fabriqué des cadrants de mesures pour les grandes ,petites ,ou moyennes profondeurs. Il se place sur la source cadrant dans une main et son pendule au dessus en balancement,mentalement il pose la question :" A quelle profondeur se trouve la source que je vient de détecter." Aussitôt sont pendule se dirige vers la partie du cadrant représentant la profondeur . En fait toutes les évaluations de profondeurs ou débit , se calculent mentalement , il s'agit d'un acte de radiesthésie , alors que la détection de la source est une réaction physique . il y a certains éléments qui influent sur l'évaluation de la profondeur et notamment l'argile. Dans le cas de terrain trés argileux il faut d'abord évaluer l'épaisseur de la couche d'argile, et l'ajouter à l'évaluation totale de la profondeur. EX:profondeur 50 mètres , argile épaisseur 10 mètres forassions à 60 ètres . Il faut rester très prudent dans ce domaine et ne jamais être formel. estimer le débit est beaucoup plus aléatoires, je ne donne jamais d'éstimation, cependant je ressent si le forage donnera l'eau afférente aux besoins de la personne.Si d'aprés mon ressenti je pense que le forage ne donnera qu'un mètre cube et que la personne en souhaite cinq, alors je l'informe qu'elle risque d'être déçue .A elle de prendre ses responsabilités .

6 janvier 2010

Sourcier, mais pas sorcier

WaterfallDepuis maintenant une quinzaine d'années je pratique la sourcellerie, appelée jadis, rabdomancie ou l'art divinatoire de la baguette. Certains ouvrages du XV, XVI siècles, préconisaient de couper le bois servant à confectionner la "fourcelle", selon un rite immuable empreint de mystères et d'incantations. Je cite : "Dès le moment où le soleil apparaît à l'horizon vous prendrez, dans un but divinatoire, de la main gauche une baguette de noisetier et la couperez de la droite en trois coups, disant : je te ramasse au nom d'Eloïm, Mitraton et Symphoras, afin que tu aies la vertu de la verge de Moïse et de Jacob pour découvrir tout ce que je voudrais savoir...."En 1518, Luther soupçonnait la baguette de servir à un échange avec le Diable et en condamnait l'usage. A notre époque, nos esprits plus rationnels, nous ont appris que sans le sourcier et sa sensibilité, les instruments ne sont que des tiges de fer, de bois ou des "breloques" pendues au bout d'une chaîne, qui n'ont aucun pouvoir particulier, ce sont des amplificateurs des vibrations internes de l'opérateur. Le professeur Yves Rocard physicien, père de Michel Rocard, qui a étudié ce qu'il appelle le signal du sourcier, dit :" Le sourcier est actionné par une anomalie du champ magnétique terrestre, qui a la plupart du temps, a un rapport avec l'eau."Effectivement une eau circulant sous terre, glissant contre les parois d'une roche, induit un champ magnétique qu'une personne réceptive capte à la verticale du cheminement de cette eau. Les réactions physiologiques et inconscientes qui s'en suivent actionnent pendules et baguettes.
La France a connu des sourciers célèbres dont le plus éminent fut l'Abbé Mermet, qui vécut dans les années 20 et créa une méthode qui porte son nom. Pour ce maître de la sourcellerie et de la radiesthésie, si l'on peut dissocier les deux pratiques, "tous les corps émettent des ondulations ou radiations et un cours d'eau souterrain est longé de sept lignes magnétiques parallèles de part et d'autre du courant." Cette théorie est effectivement vérifiable par un praticien chevronné. J'ai eu ma première "révélation" à l'occasion d'un essai avec les tiges en L d'un sourcier reconnu. Mais depuis ce premier "ressenti" que d'eau a coulé si je puis dire ! J'ai du tout apprendre, cette force qui était en moi à l'état lattent je devais la nourrir de mes efforts, de mon travail, afin qu'elle grandisse et produise ses fruits. J'ai travaillé sur toutes sortes de terrains, des garrigues à la plaine. J'ai pu observer que mes instruments se mouvaient différemment sur les sols caverneux, les veines (eau circulant entre deux roches) ou les nappes phréatiques.Les radiations émanents de ces terrains de géologie différentes, ont-elles une origine dissemblable au point d'influencer nos instruments de façon hétérogènes ou est-ce notre cerveau qui perçoit, analyse et nous transmet la réponse par des mouvements, passant pour le pendule, de la giration inversée à des soubresauts ?
Il existe pour moi deux types de radiesthésie : la physique, qui meut nos instruments et la mentale qui interprète. Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne l'évaluation de la profondeur ou le débit d'une source. Il existe plusieurs techniques qui sont les dérivés d'une seule et même méthode. En fait, le sourcier s'oriente mentalement soit sur la profondeur, soit sur le débit d'une source. Prenons exemple de l'évaluation de la profondeur suivant ma façon de procéder : je me place au centre de la veine pendule en main, je me concentre en me disant : "à quelle profondeur coule cette eau que je viens de détecter ? " A partir de ce moment j'oublie l'environnement j'ai la tête sous terre comme j'aime le dire en plaisantant. Aussitôt mon pendule se met en mouvement et je compte de 5 mètres en 5 mètres. Lorsque j'atteins la profondeur où coule la veine, mon pendule stoppe net. Il s'agit là d'un acte de radiesthésie ou seul le mental intervient, il en est de même pour la recherche sur plan, que je pratique également. Certains individus ont une prédisposition plus accentuée que d'autres pour les pratiques ésotériques mais quelles que soient nos facultés, seul le travail nous fait progresser. Le coût d'un forage représentant un investissement important, il faut être sûr de ses résultats avant d'engager une personne, qui vous fera confiance parce que vous êtes ou vous vous dites sourcier, à faire "un trou" quelquefois de 150 mètres de profondeur. Pour la pratique de la sourcellerie une grande humilité est requise, chaque nouvelle recherche est un nouveau défit, une remise en cause de soi même, c'est une merveilleuse aventure faite de joie, ou de déception, si les résultats ne sont pas ceux escomptés. Mais lorsque l'eau est au rendez-vous, quelle satisfaction et quel bonheur ! ... Les personnes intéressées par la recherche d'eau et qui veulent se documenter je leur conseille, "comment j'opère" de l'Abbé Mermet ou "sources et sourciers" de Michel Hennique. Il existe bien sûr d'autres ouvrages, des centaines, mais ces deux là sont pour moi les plus instructifs.

22:50 Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note

6 janvier 2010

Les instruments du sourcier

IMG_0321Bien que je puisse pratiquer sans instruments , je perçois l'approche d'une source par un fléchissement de mes jambes,cette technique reste éprouvante, donc j'emploie les "outils" traditionnels, pendules et baguettes qui sans inhiber totalement ma défaillance au contact de l'eau souterraine,apporte plus de confort à ma recherche. Voici les instruments que j'utilise .

Les baguettes en L : fabriquées en laiton

La baguette en bois : Conditionné dans du bois d'olivier

La baguette acier : Constituée de deux tiges en acier reliées par un sertissage cuivre ; poigée en cuivre .

Le pendule fabriqué par mes soin avec une pierre de rivière polie .pour me contacter : ema30@laposte.net

6 janvier 2010

La baguette et le sourcier

IMG_0330Est ce le bois dans lequel est conditionner la baguette qui donne le pouvoir au sourcier ? Et bien non! Alors pourquoi encenser le coudrier ou noisetier en lui attribuant des pouvoirs magiques? tout simplement parce que ce bois est souple et se déforme  facilement dans les mains de l'opérateur, lorsque celui ci rencontre une veine d'eau souterraine à laquelle il réagit . Seule la sensibilité de la personne actionne la fourcelle,elle peut être fabriquée dans n'importe quelle essence , l'important est la prise en main ,les poignés doivent être tournés vers l'exterrieur (voir photo) et tenue en position instable . Pour ma part  j'utilise du bois d'olivier,il reste souple longtemps et l'instrument se conseve  plusieurs années, cependant je prospecte avec la baguette faite de deux tiges en acier reliées à leur extrémité par un sertisage, elles sont moins éprouvantes lorsqu'elles tournent vers le haut ou le bas..... Il en est de même pour le pendule, toute masse suspendue au bout d'une ficelle ou d'une chainette fait office de pendule , ce sont les vibrations internes du pratitien qui provoquent les girations.J'utilise les pendules de ma fabrication ,car l'important est de se sentir en osmose avec son instrument, une intimité se crée il devient un ami à qui vous accordez toute votre confiance.         

5 janvier 2010

Sur le terrain

IMG_0355Je suis contacté par téléphone par les personnes désireuses de pratiquer un forage pour une ressource en  eau sur  leur propriété .Mon adresse est connue le plus souvent par le "bouche à oreille" ou par un foreur qui transmet mes coordonnées, je suis contacté également suite à mes annonces sur les hebdomadaires gratuits.Lorsque j'arrive chez le client , j'aime bien discuter un instant avec lui avant de commencer ma recherche, cela permet de faire connaissance, afin qu'il se sente en confiance et qu'il n'est pas le sentiment qu'il se trouve en présence d'un "guignol" qui vient lui vendre des boniments . Effectuer un forage est une opération onéreuse et doit être entreprise avec un maximum de chance pour le client, donc l'intervention du sourcier est capitale et la recherches des veines doit être réalisée avec le plus grand sérieux, toute la responsabilité repose sur les épaules du sourcier.J'explique donc la manière dont je vais pratiquer, puis je commence ma prospection.Bien souvent, lorsque je ne connais pas la nature du terrain sur lequel je vais travailler, je consulte la carte géologique de la région, ce qui me renseigne sur les possibilités hydrologiques du sous sol ,Je  sais donc si je vais être confronté à des l'argiles ou d'autres roches plus propices d'un point de vu aquifère. Je pars en général d'un angle du terrain, lorsque celui ci n'est pas trop grand, et je commence par faire un premier repérage à main nues, c'est à dire sans instruments, Je suis renseigné sur la présence de l'eau par un fléchissement de mes jambes ,je marque l'endroit de ce signal par un trait effectué du talon, et lorsque j'ai sondé toute la parcelle, je recommence avec les baguettes , ce qui me permet de vérifier mon premier 'ressenti' et d'apprécier plus justement l'importance et la largeur de la veine. En dernière phase j'utilise le pendule qui me donnera des indications sur la profondeur de l' eau, ainsi qu'une estimation du débit. En général deux ou trois endroits favorables sont identifiés, en accord avec le Propriétaire je marque un seul point qui sera celui ou l'entreprise réalisera la foration. (A venir : calcul de la profondeur et débit ) 

Publicité
Publicité
Publicité